À l’occasion de la journée Grille Blanche sur la radio rennaise C-lab, j’ai tenté pour la toute première fois, l’exercice de la chronique. En prenant exemple sur l’Affaire Valérie Bacot, je questionne la place de la justice dans ce qui a poussé cette femme à tuer son mari, son mac, son bourreau. Comment se fait-il que cette femme, victime de viol, d’esclavage sexuel, de violences physiques et psychiques, par son beau-père incestueux devenu son mari, en est-elle arrivée à l’acte ultime du meurtre ? Pourquoi n’a-t-elle pas eu d’autres choix que d’ôter la vie de Daniel Polette, pour sauver la sienne ? Pourquoi la justice ne l’a-t-elle pas protégée durant ces 25 dernières années ?
Et surtout, comment une justice qui a été absente, tout le long du cauchemar, ose traiter Valérie Bacot de meurtrière et la condamne pour son acte de légitime défense ?
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